Dans le cadre de mon partenariat avec Lafuma, je vais passer mes vacances d’été dans les massifs alpins. Je profite de cette occasion pour faire un petit road-trip de deux semaines à travers cette région que je ne connais pas du tout.
Je compte partir à la découverte des Alpes françaises du côté de Chamonix, arpenter les paysages somptueux de la Suisse et faire une escale culturelle à Turin et dans le Nord de l’Italie, pays que j’affectionne beaucoup depuis plusieurs années.
Un programme que je vous raconterais plus en détails à mon retour : 100% nature, randonnées, couchers de soleil sur lacs, tourisme urbain, mers de glace, célèbres sommets (Mont Blanc, Cervin, Mont Rose…) et conférence/retrouvaille avec toute l’équipe d’ambassadeurs Lafuma Outdoor Sentinels pour l’Opération Montagne Responsable du samedi 7 septembre ! Une journée d’action et de sensibilisation, entièrement dédiée à la protection de nos terrains de jeux outdoor préférés.
Le départ approche à grand pas, tout est presque prêt ! J’ai tellement hâte !
Vous trouverez ci-dessous la carte avec les points d’étape de mon voyage et les randonnées prévues. Je verrais directement sur place pour les autres activités et visites.
En attendant, je vous propose quelques conseils pratiques si vous souhaitez découvrir également cette région !
LE ROAD TRIP : 16 jours : du 31 août au 15 septembre 2019
OU : En France : la Savoie et la Haute-Savoie
En Suisse : le Valais et le Vaud
En Italie : Turin, la Vallée d’Aoste et le Piémont
GÉOGRAPHIE : les Alpes c’est 1200 km de montagnes dont 82 sommets à plus de 4000m d’altitude, dont le Mont Blanc, le plus haut d’Europe avec ses 4809m !
QUAND PARTIR : toutes les saisons conviennent même si il y fait assez froid l’hiver, surtout dès que vous prenez un peu d’altitude. L’été et l’automne sont idéals pour les randonnées et l’hiver plutôt pour le ski.
COMBIEN DE TEMPS : deux semaines suffisent pour découvrir une grande partie de la région, plus ça devient un peu cher, surtout niveau hébergements et transports.
COMMENT Y ALLER : pour l’aspect pratique j’y vais en voiture mais pas mal de compagnies aériennes desservent Turin pour une quarantaine d’euros. Pour Genève ça grimpe un peu plus vite par contre. Tout est assez cher en Suisse.
CIRCULER EN VOITURE :
– pour les autoroutes suisses il faut se procurer une vignette à coller sur le pare-brise du véhicule pour pouvoir les emprunter sans avoir une amende. Et il ne vaut mieux pas rigoler avec les suisses ! J’ai acheté la mienne sur le site internet de Easytrip pour 36,50 € (rajouter quelques frais de port) et je l’ai reçu en 4 jours. Vous pouvez sinon en acheter sur place avant de passer la frontière dans les stations services ou à la douane mais ça sera un peu plus cher. Elle a une durée d’un an.
– attention en Italie la circulation est très réglementée dans les grandes villes comme à Turin. Impossible de rouler dans le centre AVEC ses fameux ZTL : zona traffico limitado. Des panneaux les signalent mais ils sont souvent petits… Les caméras de surveillance postées aux quatre coins des rues ne vous rateront pas par contre si vous entrez dans la ZTL et relèveront votre plaque d’immatriculation ! L’amende monte jusqu’à 100€ par infraction. Des parkings gratuits sont situés en périphérie et la ligne du métro vous amènera en plein coeur historique.
– si vous souhaitez faire quelques économies pour passer les frontières franco-italiennes et franco-suisses, et éviter les tunnels du Mont-Blanc (56,90€ A/R) et de Fréjus (57,90€ A/R), passer par les cols. Vous perdez à peine une demie-heure !
– en Italie les panneaux signalent les autoroutes en verts et les routes nationales/départementales en bleus.
– dans les deux pays il faut circuler avec les phares allumés, même la journée.
ESSENCE : en Italie l’essence est plus cher qu’en France (1,65€) alors qu’en Suisse le coût est moindre (1,42€). Attention en Italie, il existe encore des stations services avec 2 prix pour chaque carburant. L’un c’est vous qui vous servez, l’autre c’est le pompiste. Les stations « FAIDATE » (fait le toi-même) sont maintenant bien signalées. Le diesel porte le même nom, pour le 98 c’est Senza Piombo et le 95 est vert. A savoir, les cartes de paiement étrangères ne passent pas en libre service. Il faut souvent inscrire le montant souhaité avant de payer et prendre l’essence.
TRANSPORTS EN COMMUN : en Suisse il est très facile de se déplacer en train. La compagnie SBB couvre tout le réseau ferroviaire qui est connecté à une multitude de bus.
La majeure partie des sites naturels sont accessibles par téléphériques ou petits trains.
A Turin, le métro et les lignes de bus desservent très bien le coeur historique.
HÉBERGEMENT : par rapport aux coûts excessifs des hébergements suisses, j’ai choisi de me loger à proximité de la frontière, côté Italie. J’ai trouvé de nombreux Airbnb vraiment pas cher et super mignon !
DÉCALAGE HORAIRE : pas de décalage horaire
MONNAIE : € en France et en Italie et CHF (franc suisse) en Suisse : 1CHF = 0,92€ (en août 2019)
MODE DE PAIEMENT : possibilité de payer en euro même en Suisse. Les cartes bancaires passent partout, sauf dans certaines stations services italiennes où il faut payer en liquide. Pour les retraits d’espèces, frais d’1€ au bout du 6ème retrait.
PAPIERS D’IDENTITÉ : carte d’identité ou passeport
TEL/WIFI : avec mon forfait Orange tous les frais sont déjà inclus.
ÉLECTRICITÉ : prise électrique de type F/L en Italie et de type J en Suisse, prévoir un adaptateur et une multiprise.
SÉCURITÉ : dans les zones touristiques attention aux pickpockets.
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